velours de printemps

Mi mai, ils étaient couchés à quelques mètres de la ligne et se sont levé lorsque je suis arrivé à leur hauteur, juste le temps de faire quelques clichés avant qu’il s’éloignent irrémédiablement.

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Fin mai, il se tenait très attentif, en milieu de parcelle, ce futur grand dix cors. Il reste immobile, alors je reprend ma route. Une rapide observation aux jumelles me confirmera qu’il n’a pas bougé de place.

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