Un peu de sanglier ?
Depuis le déconfinement, le 11 mai dernier, je les rencontrent presque invariablement une sortie sur deux et ce, quelque soit la météo ou l’heure de la journée.
svp : ne plus bouger
La pénombre s’installe progressivement. Le posemètre de mon appareil photo est en pleine dégringolade. L’immobilité du sujet sera une aide précieuse pour obtenir des clichés avec un minimum de netteté.
90 mn …
… au bord d’une mare et de la clairière voisine, pour ce pèle-mêle photo.
ambiance vespérale
Le soleil est officiellement couché depuis 10mn et la présomption de vivre une énième bredouille se renforce inéluctablement lorsque maître Goupil fait son apparition. Il m’observera assez longuement avant de poursuivre son chemin.
brièvement
Lorsque ce couple franchit tranquillement la ligne, un craquement retentit en sous bois, les stoppant dans leur progression. Une poignée de secondes plus tard, le faon semble pressé de regagner le couvert, alors que, rassurée, la biche entamera une courte…
tout allongé – acte 2
Dissimulé par les fougères, ce cerf est à l’écoute de son environnement. La repousse de sa ramure est achevée et déjà quelques pointes sommitales noircissent, signe que la vascularisation sous velours régresse.
gagnage éphémère
Dans les derniers rayons du soleil, chevrette et brocard se sont restaurer, brièvement et isolement, le temps de traverser ce petit découvert.
dendrocopos major …
… plus connu sous son nom vernaculaire : pic épeiche.
tout allongé
Ce neuf cors, qui a « joué » avec moi un bon quart d’heure à cache -cache dans les fougères et derrière les pins, a en ce 21 mai achevé le développement de sa ramure.
retrouvaille en billebaude
Bigre, que la forêt a bien changé depuis que, contraint par les événements, je l’avais quittée à la mi-mars dernier. Chez l’espèce cerf, la mue est quasi achevée et les velours se développent.